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Espoir ou néant ?

20 juin 2006

Pas de titre, pas de vice

"Ôh petit enfant, grandit et garde tes yeux grands ouverts; sinon tu ne verras point d'étoile dans les cieux où nait parfois la sagesse."

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1 juin 2006

Un Certain Regard

Je découvre où mène ces routes
               Que si souvent tu parcours;
                         Ces routes où la poussière se fait compagne,
Et là au croisement, attendant le doute,
                Les yeux fermés par quelque amour,
                         Tout se détourne du sourire que tu gagnes,
Pour que s'ouvre à tes bras légers
                Une ligne de l'inconnu, de l'horizon,
                         Un fil suspendu, un fil de funambule,
Sur lequel se promène tes pieds
                Qui baladent ton regard profond
                         Par delà les souvenirs que l'on brûle;
Ta vie ressemble à ton bonheur qui s'échappe,
                Mais jamais tu ne t'arrêtes, même ces nuits,
Quand les remords à grands pas te rattrapent,
                Car c'est un soleil qui brillera aujourd'hui.

31 mai 2006

De L'Air Du Temps

Que ces larmes sont chaudes

Quand c'est pour toi mon amour,

Que je les verse et qu'elles brodent

Pour mon coeur une écharpe de velours.

31 mai 2006

Renaissance

Ces mots que tu écris,
Comme ils sonnent joliment
Dans mon coeur aigri,
Ces mots pleins de sentiments.

Je les attendais comme
L'on voit venir un rêve;
Ces mots dont la somme
Est un baiser sans trève.

Pourtant, je ne peux les sentir, jamais,
Car ces mots ne me sont pas destinés.

31 mai 2006

Les Ans Volés Se Dissipent Toujours

Parfois, je me nois sous la pluie; Il arrive, qu'au detour d'un orage, Ma tête, d'un grand néant, s'emplisse, Sans meme qu'un mot volage Entre deux gouttes, ne s'enfuit. Par moment, dans ces nuits Où toutes les lunes scintillent, J'empaume le temps qui s'enfuit, Le temps, pour qui les étoiles brillent, Pour qu'il me tienne compagnie. Par instant, je m'enfuis, Au delà des pensées vrombissantes Ou se perdent de puissants cris, Et ainsi retrouver, encore crépitante, Solitude, qui, toujours, sourit.
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30 mai 2006

Le Noir et le Gris

Aux sombres, je vous abandonne,

Comme disent les profondeurs,

Je vous abandonne, et vous pardonne

Pour les fautes et les douleurs;

Rien ne s'enfuit par l'oiseau,

Pourtant, je reste et je contemple

Les cieux s'animant sur les eaux

Des siècles défunts et des temples,

Jadis humbles, à présent oubliés,

Il ne reste ici que mystères et paix.

26 mai 2006

Les Fleurs Sans Mal

La poussière nait de la pierre
La pierre nait de la souffrance
La souffrance nait de l'amour
L'amour Nait dans les étoiles
Les étoiles ne sont que poussière...

26 mai 2006

De Douceur et d'Envie

Il y a tes mots de douceur
Que tu me murmures quand je dors,
Ôh mon amour...
Il y a ta voix qui chante
Et qui fait danser mon coeur,
Ôh mon espoir...
Il y a ton regard rempli d'étoiles
Qui me raconte tant de poèmes,
Ôh ma princesse...
Il y a ton sourire rayonnant
De mille éclats dans mon coeur,
Ôh ma beauté...
Tes baisers ont le goût des songes
Ôh ma bien-aimée...

26 mai 2006

Quelques Plumes pour nos pensées

Que fais-tu là-haut dans ce ciel
Où ne vole que les douces plumes?
Pourquoi n'es-tu plus près de mon aile,
Assis sur ce rocher, bercé par l'écume?
Cette mer, maintenant,
Me semble si triste sans ta Présence
Qui me réchauffait par tout temps.
Ce soir, alors que les vagues dansent,
Et que le soleil se couche,
Un vent doux se lève mais j'ai froid,
Plus froid qu'un hiver sans toit
Où m'abriter...
Pourquoi encore n'es-tu pas là aujourd'hui?
Et pourquoi cette mer me donne envie de pleurer?
Et chaque soir, le temps s'enfui.
Un peu plus...
Un peu plus...
Mais en ce jour où je comprend enfin
Que jamais tu ne m'as laissé,
Que tous ces jours tu me tendais la main
Pour me dire de ne pas pleurer,
Enfin j'ai compris
Que dans mon coeur, pour toujours tu vis
Et que depuis que, en moi, je te ressens,
Chaque jour je te souris...

22 mai 2006

Sans Rien

Dans l'étreinte d'où rien ne fuit,
Quelques lueurs s'agitent mais ne parlent,
Les âmes dans ce puit se précipitent,
Comme autant de croyances, qui,
En jour ou en nuit, demeurent aussi pâles
Que leurs servants vaporeux sans mérite.

Tant de gestes, tant de cris,
Et si peu de rires brûlent,
Alors il reste le mystère qui s'agite
Comme un gosse que l'on pourrit
Pour qu'en sa tête rien ne pulule,
Qui ne puisse rendre peu émérite.

La vie s'achève,
Tout semble fait,
Mais rien de fini,
Le temps crève,
Qui pardonnerait?
La douleur s'oublie...

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